Photo-romans réalisés à partir d’écrits de Nicolas Mouton-Bareil et Olivier Coufourier.
Quelques histoires courtes qui se regardent comme des petits films. Mais ce sont des photographies qui illustrent un récit.
De deux à douze minutes, ces histoires sont drôles ou graves. En couleur ou noir et blanc, chacune a été réalisée avec une contrainte particulière. Disons plutôt que c’est la recherche d’une expression en prenant à chaque fois une direction particulière.
L’exercice du photo-roman est donc particulier et il date de 1964, quand Chris Marker l’a créé. Qu’en reste-t-il, à part l’idée moqueuse du roman-photo de magazine ? Pas grand-chose. Ce travail n’est pas vraiment exploité. La question serait, à mon sens : qui de l’image ou du récit ? A chacun de se faire une idée. Cela ne m’appartient plus.
Photoroman – 21 minutes – Texte de Nicolas Mouton Bareil, réalisation de Olivier Coufourier, avec Joa Bénazet, Kévin Bertrand et Stella, les voix de Delphine Bouchet et de Jacques Marcel, les dessins de Laurène Deloupy
« Est-ce moi cette femme qui hurle ? Oui, c’est bien moi, mais… »
Photo-roman. De quel temps parle-on ? De celui qui passe, de celui qu’il fait, du rythme, de phase… Une créature nous explique l’essentiel en 4 minutes et 30 secondes chrono.
Texte, photo et réalisation Olivier Coufourier. Avec Agnès Mella Duran. Supports techniques Nicolas Mouton Bareil et Théo Coufourier. Doublage allemand et italien Ulli Joubert. Musique Gracias
« Moi, je ne suis aucune route. Mes envies débordent d’immobilité. Plus coussins que divan. Plus Shéhérazade que Freud ».
D’après un texte de Nicolas Mouton Bareil Réalisation de Olivier Coufourier Montage-son Claire Despax Avec Laetitia Graffant Paul Vinachès et Théo Coufourier