Chez les hôtes

Véronique et Marc 2023


Sophie et Laurent 2023

Nicolas et Olivier 2023

Jan et Vincent 2023

Julie et Fred 2024

Laurence et Philippe 2024

Laurène et Jean-Christophe 2023


Manon 2023

Dora et Roman 2022


Dora et Roman 2022

Dora et Roman 2022

Dora et Roman 2022

Delphine 2023

Claire et Philippe 2023

Anouk et Elyssah 2025

Anne-Marie et Jean-Paul – 2025

Paul – 2025

Alexia, Thibault et Arthur 2023

Dora et Roman 2025

Eloïse et Théo 2025

Ingrid et Jacques 2025

Laetitia, Olivier et Félix 2025

Marie et Antoine 2025

Marie et Jean-Luc 2025

Mary-Mélanie, Thomas et Lou-Gino 2024

Nathalie 2025

Chez les hôtes

Mises en abyme

La mise en abyme est un procédé consistant à représenter une œuvre dans une œuvre similaire, par exemple dans les phénomènes de « film dans un film », ou encore en incrustant dans une image cette image elle-même.

Au travers de ces portraits photographiques, j’ai voulu créer une « drôle de sensation » : des personnages dans leur environnement naturel et personnel, et répétés à l’infini.
Un peu comme s’ils prenaient plaisir à se refléter dans des miroirs qui se font face, ou mieux encore, à se faire face !

Olivier Coufourier

Chaque image comprend des photos argentiques et numériques.

A ce jour, 30 portraits 30×20 cm réalisés et encadrés.

Ecce homo

Exposition photo – 2006-2007 – Argentique noir et blanc (sauf Fantasme en couleur)

Montpellier (appart’expo), Paris, Lagrasse

Planche anatomique masculine

J’ai demandé autour de moi ce qui faisait l’identité masculine ou féminine, du moins pour ce projet, ce qui caractérisait l’homme. J’ai noté, puis illustré de manière explicite la simple définition du dictionnaire. Quant au fantasme, représentant un rêve (donc en noir et blanc), il est illustré en couleur.

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A la rue

A la rue – Exposition de portraits – 2010

Ils vivent dans la rue. Beaucoup les ignorent. Pour autant eux-même préfèrent passer inaperçus.
Qui sont ces personnes croisées à de multiples reprises ?
Les conditions de vie ne sont pas des plus faciles, quand on vit dehors.
Un slogan militant affiche «La rue tue». J’ai vu quelques bouquets de fleurs accrochés ici et là, à la mémoire des SDF (Sans domicile fixe), morts de froid, de maladie ou que sais-je. Je n’étais pas en mesure de me représenter une image des disparus.
C’est donc par l’image que j’ai voulu aller à la rencontre des gens qui vivent dans la rue.
Ce que je propose aussi, c’est de faire connaissance à partir de portraits, que l’on soit attiré par l’image, si possible une belle photo. Et puis, que l’on fasse plus ample connaissance.
La rencontre est toujours une surprise. Pour moi, ce sont des moments forts, parfois difficiles, puisque d’emblée, la confiance réciproque est mise à l’épreuve.
Les offres d’accueil et d’hébergement sont partielles. Mais c’est par ces structures que j’ai pu commencer à entrer en contact avec les gens qui vivent dans la rue : la Croix rouge, la Maison des solidarités (Fondation Abbé Pierre), l’Ordre de Malte (SAMU social), le 115…
Ces structures m’ont ouvert leurs portes et permis d’évoluer parmi les membres de leurs équipes. J’ai pu mesurer l’importance de leur travail, de leur générosité, de leur réactivité. Avec le Samu social, j’ai sillonné les rues en oubliant mon appareil photo. Je garde à l’esprit que les images que je donne à voir doivent être de bons portraits. Ce n’est donc pas du reportage au sens premier puisque j’ai laissé de côté l’objectivité et la cruauté de certaines situations.
Je reste fidèle à l’idée initiale : proposer la rencontre et m’assurer que chacun de mes «modèles» soit fier de son image, à un moment que je ne souhaite que temporaire.

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